En route...

 

D'abord, faut sortir l'outil principal, celui qui ne fait pas mal au dos et qui porte encore les traces de routes précédentes.

Le plus compliqué c'est de remplir, mais pas trop non plus.



 

Alors, où c'est qu'on va?

Là:



Plus précisément

Ou alors comme ça?

 

 

On y va avec Turkish Airlines: Bruxelles-Istambul-Bangkok, 12 à 13 heures de vol...

 

 



 

 

Dimanche 19 janvier

 

Après un repas bien belge, un jambonneau-moutarde de derrière les fagots, direction l'aéroport de Zaventem.

Tout roule bien; mais à l'escale d'Istanbul, au moment d'embarquer, on se rend compte qu'à Bruxelles, ils ont émis deux fois nos billets Bx-Istanbul et pas ceux pour Istanbul-Bangkok.

Petite montée d'adrénaline...

Mais le personnel aimable de Turkish Airline règle cela en deux tours de cuillère à pot.

 

Arrivés à Bangkok, aéroport Suvarnabhumi (fallait le sortir, ce nom-là), la chaleur est bien bonne pour nous qui venons des frimas nordiques.

Aéroport flambant neuf.

 



 

Dans nos carcasses, c'est encore le matin alors qu'ici c'est bientôt le soir.

On se loge dans un hôtel proche de l'aéroport et dodo à 22h car demain, on taille la route vers le sud.

 

Comité d'accueil à l'entrée du resto.

Comment ne pas se sentir invités?

 



 

Bon faut aimer le riz ou les nouilles. Mais quand on a ce qu'il faut pour faire passer...

 

 



 

 



 

Le lendemain, on se rend compte de l'hôtel; un peu décrépit quand même.

 

 

Mais qui a lâché ce troupeau au milieu de la quatre-bandes?